Cette page ne peut que pâlement suffire à retranscrire la dynamique collective aux racines d’une pensée qui n’est mienne que par contexte ou par hasard, et à traduire la gratitude que j’éprouve face à chacun des nominés nommés1.
Je remercie les petites et plurielles mains de la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques, lieu où j’ai effectué mon doctorat et une bonne partie de ma maturation scientifique. Lorsque je suis arrivée à la Chaire il y a 7 ans, aussi bouleversée que l’était le bureau, j’ai trouvé le lieu d’une reconstruction et d’une formation incroyable. Les bureaux sont toujours en désordre, mes idées sont de même emmêlées, mais les noeuds sont désormais riches de connexion et à leur place.
Rares sont les thèses qui se vivent en parallèle, je remercie mon camarade des nocturnes rédactions et relectures : Antoine F.
qui, en plus de me montrer des manières toujours plus inventives d’écorcher mon patronyme, a donné son plein sens au mot collaboration par son infaillible écoute et éthique. Toute ressemblance qui pourra être trouvée entre sa thèse et la mienne tient ainsi de la précieuse connivence.
Je remercie ces personnes qui ont fait de la thèse une aventure d’empathie et de soutien. Merci à ces incroyables êtres vivants qu’il m’a été donné de croiser et de suivre :
Mathilde V.
Roch D.
Alix C.
Isabelle B.
Louis-Olivier B.
Servanne M.
Nicolas S.
Timothée P.
Jeanne M.-L.
Louis-Thomas L.
Marine N.
Chris T.
Léonore B.
Je remercie les nombreux regards qui sont passés entre mes lignes pour aider l’écriture à formuler et à respecter la langue que je tords par inattention ou mauvais esprit :
Mathilde V.
Jean-Marc L.
Catherine M.
Cédric K.
Roch D.
Je remercie mon directeur et ma directrice pour avoir accepté que je résiste bien des fois à une direction :
Marcello V.R.
Catherine M.
Je les remercie pour leur patience, pour leur écoute, pour leur folie plus que pour leur sagesse parce qu’elle m’a donné l’espace et le souffle à mes propres écarts.
Merci à Marcello V.R.
pour son inépuisable soif de travail-ensemble, pour sa grandiloquente folie qui relève plus du littéraire qu’il ne le croît, pour sa générosité humaine enfin qui a fait la différence des dernières années.
Merci à Catherine M.
pour avoir su observer mon écriture comme nulle personne auparavant et m’avoir amené à la voir telle, pour son intuition indescriptible vis-à-vis des êtres et des lettres.
Je remercie celui qui a subi cette thèse par procuration et qui en a fait son quotidien avec enthousiasme et bénévolence. Je lui promets de ne pas faire de deuxième ou de troisième thèse, car je chérie bien trop celle-ci comme le témoin d’heureux moments passés à coder et décoder ensemble.
Enzo P.C.
La thèse qui suit a été modifiée suite aux retours du jury de soutenance : Isabelle C.
, Markus R.
, Jean-Marc L
. que je remercie pour leur écoute. Leurs mots vont me poursuivre dans mes prochains écrits tels de bienveillants fantômes.
Cette thèse a été réalisée à l’Université de Montréal et a bénéficié de plusieurs appuis financiers, notamment celui de la FRQSC, celui du Département des Littératures de langue française de l’Université de Montréal, celui de la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques et celui du Centre de recherche interuniversitaire sur les humanités numériques.
-
Je m’engage d’ailleurs par le fait à relire chacune des thèses que ces derniers pourront bien heureusement produire. ↩︎